Messages : 19 Date d'inscription : 20/02/2010 Âge : 30
Sujet: Alannah Sam 20 Fév - 22:51
Alannah Conwall
Nom: Conwal Prénom: Alannah Âge: 18 ans Sexe: Féminin Lieu de naissance: Neyva Cité d'habitation: Voyageuse Fonction: Assassin État civil: Célibataire Orientation sexuelle: Bisexuelle
Physique: À première vue je semble être faible et tout à fait inoffensive. Peut-être était-ce dû au fait que je suis un peu plus petite que la plus part des femmes et que je suis mince comme un cure-dent ? Pourtant, je suis en très bonne forme physique. Les gens pensent que je suis fragile alors que c'est tout le contraire. Cette allure m'avantage, car ceux qui s'en prennent à moi ont tendance à me sous estimer. Ma poitrine est proportionnelle à mon corps et je ne m'en plains pas. Elle ne m'encombre pas en entrainement ou en combat ce qui m'arrange beaucoup. Mes cheveux sont légèrement ondulés et d'un brun plutôt foncé. À la lumière du soleil ils me rappellent la couleur du chocolat. Je les laissent habituellement tombés sur mes épaules, mais j'aime bien de temps à autre les ramenés vers l'arrière en une simple queue-de-cheval. Mes yeux ont la douce couleur du miel et sont peu expressifs. Pour certaines personnes, il y a une petite ressemble avec les yeux d'un fauve. J'ai la peau très pâle et les yeux cernés par le manque de sommeil, dû à l'insomnie. Mon corps est parsemé de petites cicatrices, la plus part causées par accident alors que je m'entrainais dans les bois avec ma mère. D'autres étaient causées par elle lorsque je ne poursuivais pas adéquatement le dit entrainement. Particularités:Je n'ai rien de bien particulier, mis à part de petites cicatrices, maintenant presque invisibles sur mon corps
Caractère: Je suis gentille et aimable... en apparence. Je me force pour être respectueuse envers les autres même quand l'envie de leur en coller une ne manque pas ! Pourquoi ? Car c'est avant tout ce que je suis... ou j'étais. Je ne sais plus. Grâce à ma mère j'ai grandis en étant une jeune fille sage et gentille, par contre, j'ai développer un autre sentiment qui se nomme méfiance. Depuis le jour où j'ai découvert la vraie nature de ma mère j'ai appris à ne jamais me fier aux apparences et je me suis mise à me méfier de tout le monde en commençant par elle. Je me permet rarement d'être familière avec les autres. Je ne me mêle pas de leurs affaires même si parfois ma curiosité me pousse a en savoir plus sur eux et ce qu'ils font. J'ai aussi tenter de refouler ma curiosité, de la cachée. Autant dire que j'ai tenté de me débarrasser de ce que j'étais avant !
Parfois, il arrive que ma patience atteigne ses limites. Je laisse donc tomber, un peu sans m'en rendre compte, ma façade de jeune fille douce pour montrer mon vrai visage. Je n'ai pas de remord à blesser quelqu'un autant physiquement que psychologiquement dans ces cas là. À vrai dire, je n'ai jamais de remord. Une fois que c'est passé, cela reste du passé, on ne peut revenir en arrière alors à quoi bon se dire "j'aurais dû dire cela" "j'aurais dû faire cela" "je regrette ce qui s'est produit" ?
Avec le temps j'ai été inciter à détester toute personne faisant volontairement le mal autour d'eux et écrasant les plus faibles. Je ne me considère pas comme tueuse, mais comme une nettoyeuse qui se débarrasse des pourritures de la vie. Je suis une bonne menteuse et une hypocrite. Je fais tout pour obtenir ce que je veux sans demander de l'aide. Je crois être en mesure de me sortir d'une situation lorsque je m'y mets les pieds dans les plats. Je déteste devoir dépendre d'autrui et je compte bien me sortir seule de chaque obstacle à lequel je serais confrontée ! Philosophie: Il y a les faibles, il y a les forts. C'est ainsi, on y peut rien. Les assassins sont des faibles qui se sont révoltés pour combattre les plus forts qui usent injustement de leur pouvoir et les éliminer. Je fais parti de ce groupe de "nettoyeur". La vie, peut être meilleure pour tous, mais il faut savoir faire des efforts. Certains se plaignent de ne rien avoir alors qu'il ne font rien pour obtenir ce qu'il désir. Le destin peut donner un coup de main, mais il est tellement imprévisible qu'il vaut mieux ne compter que sur soi même. Ce monde, nous devons le rebâtir pour qu'il soit meilleur pour tous. Pour cela, il faut que tout le monde y mette du sien. Qui ne tente rien n'a rien. Faiblesse: Je ne sais pas nager. Histoire: Je me nomme Alannah. C'est mon défunt père qui avais choisi ce nom. Ma mère, elle, je souhaiterais ne pas y penser. Par contre, je vous doit de raconter mon histoire. Pour vous, je vais déterrer mes vieux souvenirs d'enfance et faire face de nouveau à mon passé. Comme je viens de vous le mentionné, mon père est décédé. J'ai été élevé par ma mère. C'était une femme très belle. On nous faisait souvent la remarque que l'on se ressemblait comme des sœurs. Ce genre de commentaires nous faisait plaisir. On était très complices elle et moi. J'ai toujours connue ma mère en tant que femme généreuse, gentille, attentionnée et dévouée. J'ai appris, alors que je n'avais que treize ans, que les apparences pouvaient se révéler trompeuses.
Depuis toute jeune, j'avais une routine du soir. Je prenais le repas avec ma mère et l'aidait par la suite à nettoyer la table et les assiettes, les tasses et les casseroles qui nous avait servi pour préparer le repas. C'était le moment pour nous deux de discuter de nos journées respectives. Il était rare de ne pas rire et s'amuser pendant ce moment. Ensuite, une fois que tout était propre et bien rangé, j'allais dans ma chambre. Ma mère sortait et comme il m'était interdit de mettre un pied à l'extérieur de ma chambre je m'amusais à lire, écrire ou bien dessiner. J'avais des jouets avec lesquels je jouais de temps à autre aussi. Lorsque j'étais fatiguée j'allais dormir. Le lendemain matin, je sortais de ma chambre, toujours à la même heure, et je retrouvais ma mère assise à la table de la cuisine, m'attendant pour le déjeuner.
Maintenant je vais vous raconter ce qui s'est produit, alors que j'avais treize ans. Comme d'habitude j'allais dans ma chambre après le repas. Ma mère sortit de la maison. Je n'avais jusqu'alors jamais su où elle partait tout les soirs. Lorsque je lui posais des questions sur l'endroit où elle allait, elle me répondait toujours quelque chose comme: " C'est un endroit pour les grandes personnes" ou "je vais voir des amis". Je comprend à présent pourquoi elle ne m'a jamais rien dit. Ce soir là, alors que ma mère était absente, je sortais de ma chambre pour prendre un verre d'eau. J'avais très mal à la gorge et je me disais que ma mère ne saurait rien du fait que j'étais sortie. Je savais qu'elle n'était pas rentrée, sinon j'aurais entendu le bruit de la porte grinçante au rez-de-chaussé. Je descendit donc à la cuisine où je pris un grand verre d'eau. Après l'avoir bu, je le rempli de nouveau pour le garder dans ma chambre. Alors que j'allais remonter, j'entendis la porte de la maison s'ouvrir et je me cachais en vitesse derrière le comptoir. Je vis ma mère passé, avec un homme. Ils descendirent à la cave, endroit où je n'avais pas accès. Un cadenas m'empêchait d'ouvrir la porte et jamais je n'avais vu la clé.
Ce soir là, je fis l'erreur de me montrer trop curieuse. Je m'approchais de la porte menant à la cave et l'ouvrais discrètement. C'était très sombre et j'en avais profiter pour descendre les escaliers de bois, couverte par la pénombre. Je m'arrêtais au milieu de ma descente pour écouter la voix de ma mère, parlant probablement à l'homme. J'ai oublié il y a longtemps ces paroles, mais je sais que c'était ça qui m'avait poussé à continuer de descendre pour voir ce qui se passait. De tout les scénarios que j'avais pu imaginer en quelques instants, celui que j'avais vu dépassait ma pensée. Ma mère, cette femme si belle et si gentille avait le visage déformé par une rage que je ne lui connaissais pas. Grâce à une lampe à l'huile je pouvais la voir elle et l'homme recouvert d'une matière liquide que je reconnu après un moment; du sang. Il était attaché par deux chaines au poignets. Il avait peur, il souffrait, cela se lisait dans ses yeux. Je ne pouvais détourner mon regard du sien. C'est là que ma mère m'aperçus.
Je me rendais compte, au regard qu'elle me lança à se moment là, de la gravité de la situation dans laquelle j'étais. Tout ce qui se passa par la suite se déroula tellement rapidement, il me manque encore des bribes de ce moment. Je me souviens que ma mère m'avais empoignée et placée devant l'homme. Elle m'ordonna de le fixé en me répétant que c'était quelqu'un de mauvais, qu'il devait mourir. J'avais trop peur de lui désobéir, je n'osais parler, je n'osais bouger. Si je ne parlais pas à cause de mon mal de gorge, cette fois-ci c'était à cause de la peur. J'avais un long couteau en main. Je ne m'étais pas rendue compte qu'on me l'avais donner. Je l'avais, c'était tout. On me poussa ensuite vers cet homme, je voulais détourner le regard, je voulais m'enfuir, mais je ne pouvais et ça je le savais. J'avais atteint un point de non retour. Je fermais les yeux en me répétant que ce n'était qu'un cauchemar, que la lame qui pénétrait doucement la chair de l'homme était irréelle, que rien de tout cela existait.
Je me réveillais dans mon lit, le lendemain matin. Je n'avais aucun souvenir d'y m'être couché. Persuadée que tout cela n'était qu'un cauchemar, je descendait à l'étage, où comme à son habitude ma mère m'attendait pour le déjeuner. Durant le repas, j'ai eu droit à des explications pour ce qui s'était produit la veille. Je compris que je n'avais pas rêvé. Ma mère m'avait caché pendant de nombreuses années qu'elle était une tueuse. Elle assassinait des personnes pour de l'argent lorsqu'on lui demandait. La majorité des soirs où elle sortait c'était pour tuer. À présent que je connaissais la vérité, ma mère souhaitait que je prenne sa relève pour le jour où elle ne pourrait plus faire ce "métier". Selon elle, dans notre lignée, toute les personnes ont eux aussi été réduit à tuer.
C'est ainsi que je commençais à recevoir un entrainement spécial de la part de celle qui m'avait élevé. À présent, j'ai 18 ans. J'ai quitté la maison où j'ai grandis pour voyager. Je ne sais pas ce qui va m'arriver, ce qui m'attend ailleurs, mais je suis curieuse de le savoir. Je suis devenue tueuse comme ma mère, mais je ne compte pas le rester toute ma vie. Au début, tout cela me dégoutait, mais à présent je ne suis qu'indifférente à la mort d'autrui. Je me suis promis qu'à présent je ne tuerais que pour ma propre survie. La question est: est-ce que je vais tenir cette promesse ?
Rêves / Ambitions: Je vis sans but précis. En fait, ce n'est pas tout à fait ça, c'est seulement encore flou pour moi. Pour l'instant, je souhaite en découvrir plus sur ma famille et mes origines. C'est donc pour cela que je voyage beaucoup. J'aime découvrir et apprendre. C'est peut-être ma soif de découvertes qui me pousse à avancer tout les jours après tout ?
Armes: Une courte faux de la longueur de mon bras. Magie: J'ai recours en de rares occasions à la légilimancie.
Hors-jeu Prénom/ pseudo: Ayame Âge: 10000000 ans Sexe: Indéterminé Des petits trucs sur toi?: Je suis née Avatar: Image de deviantArt Créée par Dark-Spider (MERCCCCIIIII) ^-^
Dernière édition par Alannah le Sam 13 Mar - 23:04, édité 12 fois
Personnage État civil: Marié à Cédrelle Magie: Nécromancie Petites notes:
Sujet: Re: Alannah Mer 10 Mar - 17:55
Pouet, pouet, c'est que tu connais pas la réputation d'Alannah ! XD
Alannah
Messages : 19 Date d'inscription : 20/02/2010 Âge : 30
Sujet: Re: Alannah Mer 10 Mar - 17:56
Tu veux dire quoi par là mon petit caca ? Que je suis lente ? Oui XD
EDIT: J'ai pratiquement terminé, mais à cause d'un petit problème, une part de ce que j'ai fait à supprimer. Je vais donc continuer plus tard et ce sera terminer cette semaine ^^''
Cédrelle
Admin Michante - Reine de Lassian
Messages : 99 Date d'inscription : 24/01/2010 Âge : 30 Aura : Rose
Personnage État civil: Mariée à Kiefer Magie: Légilimancie Petites notes:
Sujet: Re: Alannah Jeu 11 Mar - 9:42
Ohhh ça c'est plate quand ça arrive!! Bon, bonne continuation!
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Sam 20 Fév - 22:51
Golden est en train d'écouter le Seigneur des Anneaux, elle te répondra après!